Des membres du Parlement européen se font l’écho d’appels lancés par la société civile, les prestataires de services publics et les travailleurs pour que les services publics soient complètement exclus des accords de commerce.
Tandis que l’UE digère le contenu de la proposition d’accord relative au maintien du Royaume-Uni dans l’Union faite par Donald Tusk, la Confédération européenne des syndicats (CES) estime que priver de leurs droits les travailleurs à bas salaires ne sera d’aucune aide ni pour le Royaume-Uni ni pour l’Union européenne.
« Ce dont l’Europe a besoin, ce sont des investissements et des salaires décents pour les travailleurs », a déclaré Luca Visentini, Secrétaire général de la CES, « et non dépouiller des migrants déjà mal payés de leurs droits. »
Le Parlement européen se réunira lundi en séance plénière pour débattre de sa position sur l’ACS – l’Accord de commerce sur les services – qui sera ensuite soumise au vote mercredi.
Cet accord est en négociation depuis 2013 et concerne plus de 20 membres de l’OMC, y compris l’Union européenne, les États-Unis, le Japon, le Mexique et la Turquie.
La Confédération européenne des syndicats (CES) n’est pas opposée à l’ACS qui pourrait stimuler le commerce et l’activité économique mais elle s’inquiète de son impact sur les services publics et les droits des travailleurs.
Selon la Confédération européenne des syndicats (CES), les propositions fiscales dévoilées aujourd’hui par la Commission européenne constituent deux petits pas en avant et deux grands pas en arrière.
Deux petits pas en avant :
Échange d’informations obligatoire sur ce que paient les entreprises multinationales ;
Introduction dans le droit européen du principe du paiement de l’impôt sur les bénéfices là où ils sont générés.
Deux grands pas en arrière :
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de janvier 2016.
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Alors que le chômage des jeunes est de plus de 22% pour l’ensemble de l’Union européenne*, avec un niveau atterrant de 53% en Espagne*, les syndicats européens exigent que le financement de la garantie pour la jeunesse de l’UE soit prolongé.
La Confédération européenne des syndicats (CES) soutient les syndicats espagnols CC.OO et UGT qui demandent que soient abandonnées les poursuites contre 8 syndicalistes qui sont chacun passibles d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à 8 ans et 3 mois.
Réagissant à l’annonce faite hier par la Commission européenne exposant ses priorités pour faire face à la crise des réfugiés en 2016, Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré :
A la veille d’une discussion du Collège des Commissaires européens portant sur l’attribution à la Chine du statut d’économie de marché (SEM), la Confédération européenne des syndicats (CES) rappelle le risque qu’encourraient l’industrie et l’emploi européens.
La Confédération européenne des syndicats (CES) se félicite de l’accord auquel sont parvenus aujourd’hui syndicats et employeurs dans les administrations centrales.
Commentant le manque d’initiatives nouvelles de la part du Conseil européen pour faire face à la crise des réfugiés, Luca Visentini, Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré : « Les dirigeants européens se montrent totalement incapables de réagir à l’ampleur de la crise humanitaire, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’UE.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de décembre 2015.
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La Confédération européenne des syndicats (CES) et ses affiliés britannique (TUC) et italiens (CGIL, CISL, UIL) déplorent les conséquences de l’appel à une Europe à deux vitesses telle qu’elle a été évoquée par les ministres des affaires étrangères Gentiloni et Hammond dans leur article conjoint publié le 15 décembre (voir le lien ci-dessous).
Ce jour, mercredi 16 décembre, la Cour de justice de l’Union européenne a déclaré que la manière dont la Commission européenne a géré la question des perturbateurs endocriniens (PE) chimiques était illégale au regard du droit de l’UE.
La Cour a jugé que la Commission européenne n’avait pas adopté les critères nécessaires pour tester les perturbateurs endocriniens contrairement aux dispositions légales de l’UE qui fixent des limites strictes en matière de protection de la santé.
Le Conseil européen se réunira demain et vendredi afin de discuter de 6 questions : crise des réfugiés, terrorisme, union économique et monétaire, marché intérieur, union de l’énergie et Royaume-Uni. Que faut-il en attendre ?
La Confédération européenne des syndicats (CES) sera, pour sa part, attentive aux points suivants :
Réagissant aux chiffres de l’emploi pour le 3ème trimestre 2015 qui montrent :
une augmentation de 1,1% dans la zone euro et l’UE 28 par rapport à la même période l’année dernière et
une augmentation de 0,3% dans la zone euro et de 0,4% pour l’UE 28 par rapport au trimestre précédent,
Veronica Nilsson, Secrétaire générale adjointe de la Confédération européenne des syndicats (CES), a déclaré : « Si ceci est une relance, elle est désespérément lente. »
Tom Vrijens a été aujourd’hui élu Président du Comité des jeunes de la Confédération européenne des syndicats (CES).
Outre son nouveau Président, le Comité des jeunes a également élu son bureau, l’organe directeur qui décide des orientations politiques.
La Confédération européenne des syndicats (CES) se réjouit de l’annonce faite par les ministres des finances de mettre en œuvre une taxe sur les transactions financières (TTF).
La Secrétaire générale adjointe de la CES, Veronica Nilsson, a déclaré : « Après tout ce temps, la TTF est toujours sur les rails bien que de nombreux détails importants doivent encore être résolus. »
Montserrat Mir, secrétaire confédérale de la CES, demande un accord ambitieux & contraignant à la COP21 avec une transition juste pour les travailleurs
Plus d'informations: cop21.etuc.org/fr
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de novembre 2015.
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La Confédération européenne des syndicats (CES) prévient qu’accorder maintenant le statut d’économie de marché (SEM) à la Chine nuirait aux travailleurs et aux économies en Europe et appelle donc les ministres européens du commerce qui se réunissent aujourd’hui (27.11.2015) à ne pas prendre cette décision.
La Commission européenne a lancé son cycle annuel portant sur les orientations des politiques économiques en mettant fortement l’accent sur les « réformes structurelles » mais en faisant très peu référence à l’Europe plus « juste » promise à plusieurs reprises par le Président Juncker et sans du tout mentionner d’efforts supplémentaires pour stimuler l’investissement.
Les syndicalistes européens célébreront la date du 25 novembre – la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes – par un engagement à lutter contre la violence à l’égard des femmes, que ce soit sur le lieu de travail ou à domicile, jusqu’à son élimination.
Il est choquant de savoir que:
La Confédération européenne des syndicats (CES) note que la Commission européenne n’a rejeté aucun des plans budgétaires nationaux pour l’année prochaine et considère cela comme un signe bien nécessaire d’un assouplissement de l’austérité.