Les Recommandations par pays de la Commission européenne pour l’année 2015, publiées aujourd’hui, révèlent une plus grande flexibilité en matière de déficits budgétaires mais elles freinent la croissance en ignorant la nécessité d’augmenter les salaires, souligne la Confédération européenne des syndicats (CES).
L’Union européenne (UE) doit accepter le plan - assez limité - de relocalisation des migrants proposé aujourd’hui par la Commission européenne, a déclaré la Confédération européenne des syndicats (CES).
Bien qu’il soit limité à 20.000 personnes, et en dépit de possibles opt-outs de certains Etats membres de l’UE, la gravité de la situation en Méditerranée justifie l’absolue nécessité d’un plan de relocalisation.
Demain, mardi 19 mai, le Vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, lancera ses propositions controversées pour une « meilleure réglementation ».
La Confédération européenne des syndicats (CES) présente les grandes questions qu’elle soulèvera à propos de cette « meilleure réglementation ».
Les ministres des finances de l’UE doivent rechercher un compromis avec la Grèce afin d’éviter une nouvelle spéculation des marchés envers l’euro et la dette nationale d’autres pays de la zone euro. C’est en substance l’avertissement lancé par la Confédération européenne des syndicats (CES).
La Confédération européenne des syndicats (CES) est extrêmement préoccupée par la « consultation nationale sur l’immigration et le terrorisme » lancée récemment par le Premier ministre hongrois, Viktor Orban. La lettre lançant la consultation et le questionnaire en annexe sont une tentative perverse de criminalisation des migrants qui alimente le populisme en établissant un lien clair et direct entre la migration et le terrorisme. Des hypothèses erronées ne peuvent conduire qu’à de mauvaises politiques et elles ne profitent certainement pas aux citoyens hongrois.
Selon les prévisions de printemps de la Commission européenne publiées aujourd’hui, la reprise économique s’installe. Après sept années de contre-performances, et une économie européenne toujours à un niveau de 2% inférieur à ce qu’il était avant la crise, cette nouvelle est bien tardive.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES d'avril 2015.
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Bonne lecture
Selon la Confédération européenne des syndicats (CES), le Sommet européen extraordinaire convoqué pour répondre à la crise humanitaire en mer Méditerranée n’est pas parvenu à un accord sur l’action la plus essentielle : la recherche et le sauvetage dans les eaux internationales.
Ce 28 avril, les syndicats européens célébreront la Journée internationale de commémoration des travailleuses et travailleurs en souvenir des 150.000 personnes décédées dans l’UE des suites d’un cancer d’origine professionnelle depuis que la Commission européenne a suspendu ses travaux sur la législation visant à protéger les travailleurs de substances chimiques responsables de cancers.
Chaque année, 100.000 personnes meurent de cancers professionnels dans l’UE.
Président,
Merci pour votre invitation.
Nous allons parler du dialogue social et de la contribution que ce dialogue peut apporter à la construction d'une Europe meilleure pour ses habitants. C'est l'objectif du traité : une Europe qui améliore les conditions de vie et de travail des européens.
La Confédération européenne des syndicats (CES) en appelle au Président du Conseil européen, Donald Tusk, pour qu’il convoque une réunion d’urgence du Conseil afin de convenir d’une action en réponse à la crise humanitaire en mer Méditerranée.
[Le texte prononcé fait foi]
Présidente, chères et chers amis,
Bonjour, je suis heureuse d’être avec vous et de vous saluer au nom de la Confédération européenne des syndicats.
Votre slogan : UNSA : le syndicalisme en positif. Alors, je commencerai par le positif.
La CES pense que l’UE n’est pas un projet du passé, mais un projet pour l’avenir.
La Confédération européenne des syndicats appuie pleinement ses collègues dans les pays arabes dans leur lutte pour la défense des droits citoyens, et notamment le droit à vivre dans la sécurité et la dignité.
La CES adhère en particulier à la déclaration de la Confédération syndicale arabe : https://www.ituc-csi.org/declaration-of-the-arab-trade.
Cher(e)s lecteur(trice)s,
Nous venons de publier la newsletter de la CES de mars 2015.
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Bonne lecture
La Confédération européenne des syndicats a accueilli avec satisfaction la décision de la Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire İsmail Sezer contre la Turquie (demande n° 36807/07) ; cette décision constitue une avancée modeste mais importante pour les droits syndicaux en Turquie.
« Il est évident que depuis la révolution, la Tunisie est dans le viseur des groupes terroristes islamistes qui, par leurs actions, cherchent à déstabiliser le pays et à ruiner ses perspectives économiques », a déclaré a Bruxelles la Secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats, Bernadette Ségol.
Dans son premier arrêt relatif à la directive sur le travail intérimaire (C-533/13 AKT) publié aujourd’hui, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a donné son interprétation de l’article 4 de la directive.
« Nous souhaitons la bienvenue à nos collègues du Monténégro et de l’ARY-Macédoine dans le mouvement syndical européen » a déclaré Bernadette Ségol, Secrétaire générale de la CES, « et nous travaillerons avec le CTUM, l’UFTUM et le FTUM pour améliorer les conditions de travail de toutes les personnes du Monténégro et de l’ARY-Macédoine, ainsi que pour assurer l’adoption complète des droits sociaux et syndicaux de l’UE sur la voie de l’adhésion totale à l’UE. La population du Monténégro, de l’ARY-Macédoine et de l’UE ont une destinée commune. »
Une réunion du Comité exécutif de la CES a voté en faveur de Luca Visentini, actuellement Secrétaire confédéral de la CES, comme « Secrétaire général désigné » sous réserve de la décision finale lors du Congrès de la CES qui aura lieu en octobre à Paris*.
Les syndicalistes européens ont tous ensemble plaidé aujourd’hui pour davantage de justice fiscale et ont réclamé de nouvelles actions nationales et européennes pour mettre fin à la fraude et à l’évasion fiscales, aux paradis fiscaux et à la planification fiscale agressive.
Les gouvernements doivent mettre fin à une impasse qui dure depuis 7 ans et s’accorder sur un congé de maternité d’au moins 18 semaines, a déclaré la Confédération européenne des syndicats (CES).
Pour marquer la Journée internationale de la femme, la CES souligne la nécessité pour l’Europe d’aligner les droits en matière de congé de maternité sur les normes internationales et insiste pour que les gouvernements européens parviennent à un accord sur une proposition qui est bloquée depuis 2008.
[Le texte prononcé fait foi]
Bonjour à tous et à toutes,
Monsieur le Vice-président de la Commission,
Monsieur le Ministre,
Madame la Commissaire et certainement tous les collègues employeurs que je connais maintenant depuis quelques années,
Je suis très heureuse et satisfaite de voir, qu'après 30 ans, la Commission européenne ressent, comme nous d'ailleurs, le besoin d'un nouvel élan pour le dialogue social européen.
Les syndicats européens sont prêts à donner un nouveau départ au dialogue social et participerons activement à la Conférence de haut niveau à ce sujet qui aura lieu le 5 mars*.