Bruxelles, 22/01/2009
John Monks a déclaré: « Je suis très préoccupé par cette communication. La CES est disposée à examiner les questions de mobilité de la main-d'œuvre, y compris les aspects juridiques avec les partenaires sociaux, mais elle souligne que la Commission ne peut invoquer cette excuse pour ne pas agir. Si la Commission pense qu’elle peut se débarrasser de cette question, elle fait fausse route. Il est urgent de trouver une solution et j’appelle à nouveau la Commission à y réfléchir. La CES estime que cette question est un test essentiel pour la Commission actuelle et future. »
22.01.2009
Communiqué de presse