Résolution sur l'Ukraine
Approuvée par le Comité exécutif des 16-17 mars 2022
La CES répète qu’elle condamne l’invasion d’une nation souveraine en violation du droit international, et demande à la Russie de respecter l’intégrité territoriale ukrainienne, exige l’arrêt immédiat des opérations militaires, insiste sur le départ des troupes russes et appelle au dialogue et aux pourparlers de paix.
Des syndicats de toute l’Europe se montrent solidaires des syndicats ukrainiens venant en aide aux victimes de la guerre de Poutine. En Pologne, où des milliers de réfugiés ukrainiens cherchent refuge, les partenaires sociaux font front commun pour s’opposer à la « scandaleuse agression russe » et appellent à une « réponse ferme et courageuse de la part de la communauté internationale ».
Version mise à jour approuvée par le Comité exécutif des 8-9 décembre
Le mouvement syndical européen est extrêmement préoccupé par la crise humanitaire à la frontière de la Pologne et de la Biélorussie et appelle à une action immédiate de l'UE pour garantir le respect des droits fondamentaux des migrants et pour répondre à leurs besoins humanitaires.
Les syndicats danois prennent des mesures pour accueillir et soutenir les travailleurs migrants d’Europe orientale et d’autres origines qui souvent sont victimes d’inégalités de salaire et de mauvaises conditions de travail.
Le syndicat des travailleurs du secteur de la construction 3F BJMT a conçu des affiches traduites dans quelque sept langues différentes donnant des informations sur la manière d’entrer en contact avec des personnes pouvant offrir un soutien et sur d’autres initiatives syndicales.
Les pays membres du Partenariat oriental de l’UE – Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Géorgie, Moldavie et Ukraine – dont les chefs d’État et/ou de gouvernement seront à Bruxelles le vendredi 24 novembre pour le sommet du Partenariat oriental, présentent un bilan très médiocre en matière de droits des travailleurs.
La Confédération européenne des syndicats (CES) se joint à son homologue mondial, la Confédération syndicale internationale (CSI), pour condamner la campagne politique menée contre la Confédération syndicale géorgienne (GTUC) et son Président, Irakli Petriashvili, et orchestrée par des forces politiques proches du gouvernement géorgien.
La CES travaille en partenariat avec la GTUC dans le cadre du Conseil régional paneuropéen (CRPE) de la CSI et de l’accord d’association entre l’Union européenne et la-Géorgie.
Un plan en cinq points portant sur des mesures immédiates destinées à garantir une sortie de crise pacifique et acceptable en Ukraine a été adopté par la Confédération européenne des syndicats (CES) lors de la réunion de son Comité exécutif, les 11 et 12 mars 2014.
Les organisations syndicales représentant les travailleurs dans l’ensemble du continent européen en appellent à :
Solidarite de la CES et de la CSI avec les travailleurs ukraniens
Dear Brothers and Sisters,
We have been watching with anger and great sadness the recent tragic and shocking events in Ukraine.
For months the people of Ukraine have been standing at Maidan Square, people who want to make their country free, their lives decent and their voices heard. They want to end the corruption of the ruling elites, to end the appropriation of the national wealth by oligarchs and their puppets, and to bring equality and justice to the country.
Aujourd’hui, les syndicats européens ont vigoureusement condamné le regain de violence qui fait suite aux événements dramatiques qui se sont produits dans les rues de la capitale ukrainienne. On y déplore de nombreux morts et des centaines de blessés parmi les manifestants et les forces de l’ordre. D’importants dégâts ont également été causés à des bâtiments publics et syndicaux. Ce n’est pas la voie à suivre pour résoudre les problèmes dans une société démocratique.
Bruxelles, 03/12/2013
Le Comité exécutif de la Confédération européenne des syndicats (CES) s’est aujourd’hui penché sur les évènements inquiétants qui se sont déroulés en Ukraine et a condamné la violente répression perpétrée à l’encontre des manifestants à Kiev.
Il a regretté que les conditions n'aient pas été propices à la conclusion d'un accord de partenariat avec l'UE à Vilnius le 29 novembre 2013.
Bruxelles, 15/11/2011
Suite à la décision des États-Unis d’ouvrir une telle enquête, la CES demande instamment à Karel De Gucht et à Catherine Ashton de prendre des mesures pour faire comprendre aux autorités géorgiennes qu’un processus concret en matière de droits syndicaux est maintenant essentiel si elles espèrent voir se développer leurs relations avec l’Union européenne. La CES fait également appel à la Haute représentante pour qu’elle aborde la question lors de sa visite dans ce pays cette semaine.
Bruxelles, 13/08/2008
La Haute-Commission des Nations unies pour les réfugiés estime à plus de 100.000 le nombre de personnes désormais considérées au statut de réfugiées; d'autre part, il est estimé qu'environ 42.000 ressortissants d'Ossétie du Sud ont été déplacés en territoire russe ou à l'intérieur même de l'Ossétie et qu'environ 56.000 habitants de la ville de Gori ont été déplacés vers d'autres régions de la Géorgie.
Bruxelles, 11/08/2008
« Nous appelons toutes les parties impliquées à observer un cessez-le-feu immédiat et complet et à entamer des négociations pour mettre un terme au conflit et résoudre les problèmes sous-jacents y ayant mené », a dit Guy Ryder, le secrétaire général de la CSI.
Bruxelles, 08/08/2008
La Géorgie a annoncé une mobilisation générale de ses militaires, et on signale que ses troupes participent actuellement à des combats à Tskhinvali, la capitale de l’Ossétie du Sud.
La Russie et la Géorgie se sont mutuellement accusées d’actions de nature agressive alors que la situation se détériorait. Des discussions menées jeudi soir lors d’une réunion de crise du Conseil de sécurité des Nations unies se sont achevées sans que l’on parvienne à un accord sur la proposition de déclaration avancée par la Russie.
Bruxelles, 10/11/2006
Les Confédérations finlandaises des syndicats organisent le 10 novembre, avec la CES et la FNPR, un Forum syndical, à l'occasion duquel une déclaration (ci-jointe) sera présentée au Premier ministre Matti Vanhanen, lui demandant de la transmettre au sommet UE-Russie qui se tiendra le 24 novembre à Helsinki. Cette déclaration souligne l'importance d'inclure des sujets relatifs au marché de l'emploi dans les relations commerciales et politiques croissantes entre l'UE et la Russie.