Bruxelles, 10/12/2007
Avec la forte augmentation des taux d'intérêt interbancaires, qui atteignent jusqu'à 4,86%, la crise financière s'intensifie. L'augmentation des coûts financiers, conjointement avec le resserrement des normes du crédit et un taux de change de l'euro surévalué, se traduisent par un ralentissement significatif de la croissance. Pour éviter une nouvelle baisse de croissance, il faut réduire les taux d'intérêt et pas les augmenter.