Adoptée par le Comité exécutif de la CES les 10 et 11 mars 2015
Messages clés
Le mouvement syndicaliste doit relever des défis importants en ce qui concerne le respect et la promotion des droits fondamentaux. Il est indispensable de repenser le cadre institutionnel de l'Union européenne pour faire cesser et corriger ces aberrations. L'Union devrait être tenue pour responsable du respect des droits fondamentaux.
Position adoptée par le Comité exécutif du 10 -11 mars 2015
La création d'emplois de qualité doit être la priorité n°1. Vingt-quatre millions d'hommes et de femmes, dont cinq millions de moins de 25 ans, sont actuellement au chômage et quelque 10 millions d'emplois ont été détruits depuis le début de la crise, en 2008. Bien que le taux de chômage commence finalement à aller dans la bonne direction, une reprise créatrice d'emplois ne parvient toujours pas à se concrétiser en Europe.
Position adoptée par le Comité exécutif de la CES les 2 et 3 décembre 2014
La Commission européenne fera le point sur le cadre de la gouvernance économique européenne dans une communication qui doit être publiée le mois prochain. Par cette note, la CES entend contribuer à cette révision. Elle commence par une brève évaluation générale de la gouvernance économique européenne et recommande ensuite plusieurs modifications de fond et différentes approches politiques que la CES juge nécessaires pour établir un cadre efficace pour la gouvernance économique européenne.
Adoptée lors de la Réunion du Comité exécutif des 2-3 décembre 2014
Observations générales
La CES se félicite vivement de l'approche qui caractérise les modifications proposées à la directive IORP, ainsi que des objectifs qui leur sont assignés. La transparence, une meilleure gouvernance et, en définitive, des retraites plus sûres, constituent assurément des aspects positifs.
Adoptée par le Comité exécutif de la CES les 28 et 29 octobre 2015
Rôle de la CES 2015/2019 – suivi Communication et campagnes
Communiquer avec efficacité – Porter la coopération entre la CES, les affiliés européens et nationaux à un nouveau niveau
Les communications jouent un rôle central dans la réalisation des objectifs de la CES.
La CES doit communiquer avec les institutions de l’UE et les « acteurs » qui influencent la politique de l’UE, y compris les médias, et elle devrait pouvoir mieux diffuser ses messages et actions parmi les affiliés.
Adoptée lors de la réunion du Comité exécutif du 22 octobre 2014
EXAMEN ANNUEL DE LA CROISSANCE 2015 : UN NOUVEL ÉLAN EST ESSENTIEL POUR L’EUROPE
Les priorités de la CES pour l’Examen annuel de la croissance 2015
La Confédération européenne des syndicats et le Lobby européen des femmes appellent les députés européens à soutenir la révision de la directive congé maternité.
Lire la lettre (Uniquement en anglais)
Synthèse:
• La proposition de Directive SUP (Sociétés unipersonnelles) soulève de graves inquiétudes concernant l’évasion fiscale, les droits des travailleurs et la gouvernance d’entreprise durable. Si elle est adoptée, cette directive laissera la porte ouverte aux entreprises de toutes tailles pour minimiser leurs responsabilités au titre du droit national.
Adoptée lors de la réunion du Comité exécutif de la CES les 11-12 juin 2014
La DG Affaires intérieures est à l'origine d'une communication visant à définir les priorités dans le domaine des politiques migratoires au cours des cinq prochaines années. La CES reconnaît qu'il s'agit là d'une nouvelle approche du phénomène migratoire en Europe.
Ce document soulève néanmoins certaines préoccupations et il est susceptible d'améliorations.
Résolution adoptée au comité exécutif le 12 juin 2014
Le Comité exécutif de la CES rappelle l’importance de la représentation des intérêts des travailleurs dans les activités de normalisation.Il rappelle la résolution adoptée les 5 et 6 juin 2013 sur le rôle de la CES dans la normalisation européenne dans le cadre du nouveau contexte législatif défini par le Règlement n° 1025/2012.
Le travail non déclaré est une forme grave de dumping social et il est grand temps que l’UE agisse de façon concrète pour prévenir celui-ci, mais aussi pour protéger les travailleurs qui en sont les victimes.
L’UE doit garantir une meilleure application des lois et des normes en vigueur en matière de travail et jouer un rôle plus important dans le renforcement et l’amélioration de la coopération et de la coordination entre les différentes administrations nationales.
Adoptée par le Comité exécutif de la CES lors de sa réunion des 11 et 12 mars 2014
Résumé
- Le Comité exécutif souscrit au rapport “Vers un cadre juridique pour les accords d'entreprise transnationaux”[1], qui constitue une base solide aux revendications syndicales en faveur de règles plus claires et plus transparentes pour les négociations transnationales avec les entreprises multinationales
Messages-clés
Pour garantir une relance massive, l'Europe a besoin d'investissements structurels, d'égalité de rémunération et de conditions de travail décentes pour tous les travailleurs. La CES appelle donc le Conseil européen de printemps à adopter une nouvelle orientation puisque, sans changement radical de politique, le semestre européen 2014 ne permettra pas de garantir une relance durable.
Résolution adoptée par le Comité exécutif de la CES lors de sa réunion des 11 et 12 mars 2014
Le 29 septembre 2010, les principaux syndicats d’Espagne, la CC.OO (Comisiones Obreras) et l’UGT (Unión General de Trabajadores), appelaient à la grève générale pour manifester leur opposition aux politiques en matière de travail mises en place par le gouvernement national qui représentaient une diminution significative des droits des travailleurs.
Le droit de grève est un droit fondamental garanti par la Constitution espagnole qui doit être protégé.
Adoptée lors du Comité exécutif des 3 et 4 décembre 2013 Avec la publication de REFIT (Réglementation affûtée et performante: résultats et prochaines étapes) le 2 octobre 2013, la Commission a fait un pas de plus dans un processus dont l’objectif est la déréglementation de l’Europe, le démantèlement de la législation protégeant les droits des travailleurs et l’affaiblissement du dialogue social.